La souris du Lundi a mis un chapeau gris La souris du Mardi a croqué deux radis La souris du Mercredi a dansé toute la nuit La souris du Jeudi a lavé son tapis La souris du Vendredi a dormi sous son tipi La souris du Samedi a ouvert son parapluie Et la souris de Dimanche a cueilli mille pervenches.
Nicole Oliver si Manuel Valls ne voit pas que la loi travail est une entrave pour le peuple, c’est qu’il n’est pas fait pour conduire un pays démocratique, on a besoin de personnel pour vider les poubelles en FRANCE QU’IL POSTULE POUR CET EMPLOI !!
Nicole Oliver J’ai mis le commentaire suivant « Nicole Oliver si Manuel Valls ne voit pas que la loi travail est une entrave pour le peuple, c’est qu’il n’est pas fait pour conduire un pays démocratique, on a besoin de personnel pour vider les poubelles en France !!
Auguste Renoir (1841/1919) exposée à Boston, au Museum of fine Arts. Ce tableau, peint en 1882, fait partie d’un triptyque sur le thème de la danse avec Danse à la ville et Danse à la campagne, datant tous deux de 1883.
Ce tableau impressionniste met en scène un couple dansant dans une guinguette à Bougival. Le choix de la ville n’est pas anodin puisqu’il fut le lieu de résidence de nombreux artistes tel Bizet ou Mistinguett mais aussi de peintres impressionnistes comme Monet, Pissarro et Renoir bien évidemment. Le couple représenté occupe l’ensemble du tableau. La jeune femme représentée est Suzanne Valadon, la maîtresse du peintre. Elle est peinte de 3/4, vêtue d’une robe blanche, s’opposant ainsi à son partenaire, vêtu d’un complet sombre et d’un chapeau de paille. Sa position suggère qu’il cherche à embrasser la jeune femme, qui lui oppose sa joue. C’est ce dernier qui mène la danse et l’entreprise de séduction. En arrière plan, la fête semble battre son plein, on y voit deux hommes et une femme attablés, des bières sur la table.
Ce qui émane de ce tableau, c’est l’impression de mouvement, avec cette jupe qui semble tourner, mais aussi l’arrière plan moins net que le premier plan. Il faut préciser que c’est ici l’une des caractéristiques de ce genre pictural: la sensation de mouvement. L’impressionnisme n’a d’ailleurs pas vocation à être une peinture fidèle de la réalité, mais en la suggérant par des impressions.
L’atmosphère qui domine est l’insouciance, la joie. Une impression de légèreté, comme la robe tournoyante de la jeune femme. On retrouve cette insouciance dans Danse à la campagne, qui possède dans sa composition et sa couleur de nombreux points communs, même si le trait est différent. En revanche, on peut opposer Danse à Bougival avec Danse à la ville, représentation de deux bourgeois en train de danser dans une atmosphère plus feutrée.
Le chat de la voisine Qui mange la bonne cuisine Et fait ses gros ronrons Sur un bel édredon dondon Le chat de la voisine Qui s’met pleines les babines De poulet de foie gras et ne chasse pas les rats.
eh oui certaines personnes s’extasient devant un minet bien nourri « qui fait ses gros ronrons sur un bel édredon dondon » sans même un regard sur la misère humaine !!
Tout enfant, tu dormais près de moi, rose et fraîche, :
Comme un petit Jésus assoupi dans sa crèche ; Ton pur sommeil était si calme et si charmant Que tu n’entendais pas l’oiseau chanter dans l’ombre ; Moi, pensif, j’aspirais toute la douceur sombre Du mystérieux firmament.
Et j’écoutais voler sur ta tête les anges ; Et je te regardais dormir ; et sur tes langes J’effeuillais des jasmins et des oeillets sans bruit ; Et je priais, veillant sur tes paupières closes ; Et mes yeux se mouillaient de pleurs, songeant aux choses Qui nous attendent dans la nuit.
Un jour mon tour viendra de dormir ; et ma couche, Faite d’ombre, sera si morne et si farouche Que je n’entendrai pas non plus chanter l’oiseau ; Et la nuit sera noire ; alors, ô ma colombe, Larmes, prière et fleurs, tu rendras à ma tombe Ce que j’ai fait pour ton berceau.
Jeanne était au pain sec dans le cabinet noir, Pour un crime quelconque, et, manquant au devoir, J’allai voir la proscrite en pleine forfaiture, Et lui glissai dans l’ombre un pot de confiture Contraire aux lois. Tous ceux sur qui, dans ma cité, Repose le salut de la société, S’indignèrent, et Jeanne a dit d’une voix douce : - Je ne toucherai plus mon nez avec mon pouce ; Je ne me ferai plus griffer par le minet. Mais on s’est récrié : – Cette enfant vous connaît ; Elle sait à quel point vous êtes faible et lâche. Elle vous voit toujours rire quand on se fâche. Pas de gouvernement possible. À chaque instant L’ordre est troublé par vous ; le pouvoir se détend ; Plus de règle. L’enfant n’a plus rien qui l’arrête. Vous démolissez tout. – Et j’ai baissé la tête, Et j’ai dit : – Je n’ai rien à répondre à cela, J’ai tort. Oui, c’est avec ces indulgences-là Qu’on a toujours conduit les peuples à leur perte. Qu’on me mette au pain sec. – Vous le méritez, certe, On vous y mettra. – Jeanne alors, dans son coin noir, M’a dit tout bas, levant ses yeux si beaux à voir, Pleins de l’autorité des douces créatures : - Eh bien, moi, je t’irai porter des confitures.
melodine commentaire sur ARMAND MESTRAL- "seize tonnes" "a notre époque,nous sommes déroutés car l'avenir est bel et bien bouché pour ceux qui devraient pren..."
La souris du Lundi a mis un chapeau gris La souris du Mardi a croqué deux radis La souris du Mercredi a dansé toute la nuit La souris du Jeudi a lavé son tapis La souris du Vendredi a dormi sous son tipi La souris du Samedi a ouvert son parapluie Et la souris de Dimanche a cueilli mille pervenches.