Les Cannabis Social Clubs se constituent en
Fédération
Le groupe de fumeurs du Cannabis Social Club (CSC) de Tours a déposé un dossier au bureau des Associations à la préfecture d’Indre-et-Loire pour se constituer en Fédération. 400 autres clubs seraient éparpillés dans toute la France.
- Ch.L
- Publié le 04/03/2013 | 17:22, mis à jour le 05/03/2013 | 10:11
© Alain Jocard – AFP Dominique Broc, fondateur du Cannabis Social Club, présente un plant de cannabis qu’il a fait pousser dans sa maison à Esvres près de Tours. Janv 2013
Du cannabis, ils en fument mais en prônent un usage modéré. Les membres du CSC revendiquent de pouvoir consommer et cultiver la marijuana afin d’éviter les circuits illégaux et de lutter contre le trafic. Pour cette transgression, ils risquent trente ans de réclusion criminelle et 750 000 euros d’amende comme le stipule l’article 222-35 du code pénal.
La préfecture donnera-t-elle son aval à la création de la fédération des cannabis Social Clubs? Rien n’est moins sûr. Le 21 février, le porte-parole des CSC, Dominique Broc, a été placé en garde à vue par la police à Tours. Ses cultures ont été détruites, son ordinateur saisi. Il doit comparaître le 8 avril prochain au tribunal correctionnel de Tours pour » usage et détention illégale de cannabis ».
propos recueillis par X.Naizet
cliquez sur le lien ci-dessous
Prochaine étape pour le Cannabis Social Club, le 25 mars date à laquelle chaque CSC devrait se déclarer en association auprès de sa préfecture respective.
Avec ce stratagème, il est possible que les dealers
soient court-circuités, mais malheureusement cela
n’empêchera pas les personnes de continuer de se
droguer !!!! les effets secondaires du CANNABIS sont
importants et dangereux ! (voir ci-dessous) et quand
on a mis le nez dedans, il est difficile de s’en sortir, en
clair c’est une drogue parmi tant d’autres, qui amène à
la déchéance, en vous rendant dépendant.
Ce système augmentera le nombre de drogués, car on
pourra s’en procurer à moindre prix.



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> EFFETS & DANGERS DU CANNABIS
Les effets immédiats
Les consommateurs recherchent un état de détente, de bien-être et une modification des perceptions (par exemple, sensation de mieux entendre la musique). Mais les effets recherchés ne sont pas toujours obtenus.
Les effets de la consommation de cannabis sont variables : légère euphorie accompagnée d’un sentiment d’apaisement, légère somnolence. Mais elle peut entraîner aussi parfois un malaise, une intoxication aigüe (« bad trip ») qui peut se traduire par des tremblements, des vomissements, une impression de confusion, d’étouffement, une angoisse très forte.
Le cannabis diminue les capacités de mémoire immédiate et de concentration chez les consommateurs, tant qu’ils sont sous l’effet du cannabis. La perception visuelle, la vigilance et les réflexes sont également modifiés. Ces effets peuvent être dangereux si l’on conduit une voiture ou si l’on utilise des machines (machines-outils par exemple).
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Selon la personne, la quantité consommée et la composition du produit le cannabis peut avoir des effets physiques comme : 
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>> un gonflement des vaisseaux sanguins (yeux rouges) ;
>> une augmentation de l’appétit (fringales) ;
>> une augmentation du rythme du pouls (palpitations) ;
>> une diminution de la sécrétion salivaire (bouche sèche) ;
>> parfois une sensation de nausée.
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A 17 ans, un adolescent sur cinq consomme du cannabis plus de 10 fois dans l’année, et 15% d’entre eux plusieurs fois par semaine.
LES RISQUES RESPIRATOIRES.
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La fumée du cannabis contient des substances cancérigènes comme celle du tabac : elle est donc toxique pour le système respiratoire. L’association du tabac et du cannabis entraîne des cancers du poumon plus précoces que le tabac seul. Les risques respiratoires sont amplifiés dans certaines conditions d’inhalation (pipes à eau, « douilles »).
Les effets d’une consommation régulière 
Certains effets sont loin d’être anodins et révèlent un usage problématique, donc nocif :
>> difficultés de concentration, difficultés scolaires ;
>> préoccupations centrées sur l’obtention et la consommation du produit, isolement social et perte de motivation ;
>> risques pour l’usager et son entourage, liés aux contacts avec des circuits illicites pour se procurer le produit ;
>> chez certaines personnes vulnérables, le cannabis peut engendrer ou aggraver un certain nombre de troubles psychiques comme l’anxiété, la panique et favoriser la dépression. Il peut aussi provoquer l’apparition d’une psychose cannabique : il s’agit d’une bouffée délirante qui nécessite une hospitalisation dans un service spécialisé. Le cannabis est également susceptible, chez les sujets prédisposés, de révéler ou d’aggraver les manifestations d’une maladie mentale grave, comme la schizophrénie.
Une dépendance psychique est parfois constatée lors d’une consommation régulière et fréquente : les préoccupations sont alors centrées sur la recherche, l’achat et la planification des consommations
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Vais-je mourir idiote ?
n’en ayant jamais vu « pour de vrai »…
Bon après-midi Coline
amicalement Anne
Dernière publication sur Je me SOUVIENS... : FRERES ennemis etc...
Bonjour,
Je vous conseille fortement la lecture de cet article, car vous semblez ignorer totalement ce sujet important:
http://www.alchimiaweb.com/blogfr/actualites-cannabis-medical-novembre-2013/
Cordialement,
Benoit
Bonjour,
Je n’ai jamais parlé du canabis MEDICAL, mais de l’usage de la drogue pour le plaisir .
Evidemment que pour soigner les douleurs, il existe des drogues diverses l’opium entre autre, mais cela ne faisait pas partie de mon propos!!
Cordialement
Coline
Comme votre article le montre, le cannabis en lui-même ne produit pas d’effets véritablement dangereux comme les drogues dures (certains médicaments, le tabac, l’alcool, l’héroïne, la cocaïne…). Avec le cannabis, on risque des palpitations (oh!), une accélération cardiaque sans conséquence, une augmentation de l’appétit (Il y a plus grave !), des troubles de la mémoire qui ne durent qu’un temps et des perceptions visuelles modifiées. Il est impossible d’avoir une overdose (ex : coma éthylique) avec du THC (substance psychotrope du cannabis). Et les scientifiques s’accordent pour dire que la dépendance au cannabis est très faible. Certains affirment même qu’elle serait inexistante. Moi même, j’ai arrêté du jour au lendemain le cannabis sans difficulté. C’était bien plus facile qu’avec le tabac quelques années plus tard. Pour finir, si la toxicité provient du tabac et de la nicotine (dépendance, goudron, monoxyde de carbone, arsenic, ammoniaque, acétone, etc.), il est tout à fait possible aujourd’hui de consommer du cannabis sans tabac ni combustion, avec un vaporisateur à cannabis.
http://www.smokeway.fr/content/95-chanvre