William Blake -citations

07 juillet 2015 ~ 0 Commentaire

William Blake -citations

Si les portes de la perception étaient décrassées, l’homme verrait chaque chose telle qu’elle est : infinie.
  •  William  Blake

      William Blake -citations dans chanson grivoise

    Voir le monde dans un grain de sable
    Et le paradis dans une fleur sauvage
    Tenir l’infini dans le creux de sa main
    Et l’éternité dans une heure.
  • C’est avec les pierres de la Loi qu’on a bâti les prisons et avec les briques de la religion, les bordels
  • L’arbre qui fait verser aux uns des larmes de joie n’est aux yeux des autres qu’une chose verte qui se dresse en travers du chemin. Certains ne voient dans la nature que ridicule et difformité ; d’autres, c’est à peine s’ils voient la nature. Mais aux yeux de l’homme d’imagination, la nature est l’imagination même. (Extrait d’une lettre écrite en 1799 par William Blake au révérend John Trusler.
Pour créer la moindre fleur, des siècles ont travaillé.
  • Celui qui n’ose pas regarder le soleil en face ne sera jamais une étoile.
  • Le chemin de l’excès mène au palais de la Sagesse.
  • Ceux qui répriment leur désir, sont ceux dont le désir est faible assez pour être réprimé.
  • Celui qui veut conquérir la joie,
    Malgré lui, la brisera ;
    Celui qui, quand elle passe, sait doucement l’embrasser
    Pourra toute sa vie en profiter
  •  
    Sans contraintes il n’est pas de progrès. Attraction et Répulsion, Raison et Énergie, Amour et Haine, sont nécessaires à l’existence de l’homme.
    • Ainsi, une portion de l’être est le Prolifique, l’autre portion le Dévorant. [...] Il y a et il y aura toujours sur la terre ces deux classes d’hommes, et elles seront toujours ennemies ; essayer de les réconcilier, c’est s’efforcer de détruire l’existence.

       

  • L’imagination n’est pas un état ; c’est l’existence humaine toute entière. »

     

 Chants d’Innocence ; Le Mariage du Ciel et de l’Enfer ; Chants d’Expérience de William Blake

  • J’allais au jardin d’amour
    et vis ce que jamais je n’avais vu
    une chapelle était bâtie au milieu
    là où, sur le gazon, j’avais coutume de jouer Les portes de cette chapelle étaient closes,
    et au dessus était inscrit : « tu ne dois pas »;
    alors je revins au jardin d’amour
    où croissaient jadis tant de suaves fleurs; mais je le vis rempli de tombes
    et de dalles où eussent dû être des fleurs
    des prêtres en robes noires y passaient et repassaient,
    attachant avec des ronces mes joies et mes désirs.

     

  • Ma mère gémissait ! Mon père pleurait.
    Et je bondis dans ce monde dangereux :
    Impuissant, nu et criard ;
    Comme un démon caché dans un nuage.

     

 


4 commentaires

  1. C’est culte, « Le Mariage du Ciel et de l’Enfer », mais je ne l’ai pas encore lu, juste parcouru vite fait…

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  2. Les mots de Blake ou l’inspiration pure pour l’art de notre vérité,
    très bonne soirée Coline.

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  3. Je reviens ce soir quérir la

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  4. Je reviens ce soir quérir un zeste de sagesse du grand penseur,
    très bonne soirée Coline.

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