JEAN FERRAT-Oural Ouralou- Il faut se méfier du paraitre de nous deux qui était le Maître nous ne l’avons jamais bien su
Jean Ferrat Oural Ouralou
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Le Remix / Microsoft Surface / Ed Banger
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Jean Ferrat – Oural Ouralou
Jean Ferrat – « Oural Ouralou « . Parolles et musique Jean Férrat Album Férrat 80 Cest dans l’aube cher à Verlaine que tu courrais …
PAROLES
C’est dans l’aube chère à Verlaine
que tu courrais notre domaine
humant l’air des quatre saisons
odeurs de thym et de bruyères
Sous tes pattes fraiches légères
s’élevait comme une oraison
Berger des landes familières
tu vivais digne et solitaire
Animal doué de raison
j’écris ce jour anniversaire
où tu reposes sous la terre
à deux pas de notre maison
Hourrah Oural Ouralou…
On voit souvent des souveraines
à la place des rois
il faut se méfier du paraître
de nous deux qui était le maître
nous ne l’avons jamais bien su
Tu vécus la vie parisienne
la nuit sur les quais de Seine
les music-halls et les tournées
et cette vie qui fût la mienne
il me semble que tu l’entraines
à la semelle de tes souliers
Jour après jour il faut l’admettre
voir ceux qu’on aime disparaître
c’est ce qui fait vieillir trop tôt
Au paradis des chiens peut-être
ton long museau à la fenêtre
tu nous accueilleras bientôt
au triple galop caracole
je vois tes pattes qui s’envolent
que tu courrais notre domaine
humant l’air des quatre saisons
odeurs de thym et de bruyères
Sous tes pattes fraiches légères
s’élevait comme une oraison
Berger des landes familières
tu vivais digne et solitaire
Animal doué de raison
j’écris ce jour anniversaire
où tu reposes sous la terre
à deux pas de notre maison
Hourrah Oural Ouralou…
On voit souvent des souveraines
à la place des rois
il faut se méfier du paraître
de nous deux qui était le maître
nous ne l’avons jamais bien su
Tu vécus la vie parisienne
la nuit sur les quais de Seine
les music-halls et les tournées
et cette vie qui fût la mienne
il me semble que tu l’entraines
à la semelle de tes souliers
Jour après jour il faut l’admettre
voir ceux qu’on aime disparaître
c’est ce qui fait vieillir trop tôt
Au paradis des chiens peut-être
ton long museau à la fenêtre
tu nous accueilleras bientôt
au triple galop caracole
je vois tes pattes qui s’envolent
Chevauchant l’herbe et les nuées
Le vent siffle dans ton pelage
Vole vole mon loup sauvage
Comme au temps des vertes annéesHourrah oural ouralou
Oural ouralou
Hourrah oural ouralou
Oural ouralou
Le vent siffle dans ton pelage
Vole vole mon loup sauvage
Comme au temps des vertes annéesHourrah oural ouralou
Oural ouralou
Hourrah oural ouralou
Oural ouralou
Parfait ! J’adore.
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Réfléchissons un instant aux rapports que nous entretenons avec nos amis animaux,
nul hasard ne les pose sur le chemin de notre existence,
le grand Ferrat voyait juste,
très bonne soirée à toi Coline.
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