poesie pour enfants sages
La souris du Lundi a mis un chapeau gris
La souris du Mardi a croqué deux radis
La souris du Mercredi a dansé toute la nuit
La souris du Jeudi a lavé son tapis
La souris du Vendredi a dormi sous son tipi
La souris du Samedi a ouvert son parapluie
Et la souris de Dimanche a cueilli mille pervenches.
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danse à bougival AUGUSTE RENOIR

Auguste Renoir (1841/1919) exposée à Boston, au Museum of fine Arts. Ce tableau, peint en 1882, fait partie d’un triptyque sur le thème de la danse avec Danse à la ville et Danse à la campagne, datant tous deux de 1883.
Ce tableau impressionniste met en scène un couple dansant dans une guinguette à Bougival. Le choix de la ville n’est pas anodin puisqu’il fut le lieu de résidence de nombreux artistes tel Bizet ou Mistinguett mais aussi de peintres impressionnistes comme Monet, Pissarro et Renoir bien évidemment. Le couple représenté occupe l’ensemble du tableau. La jeune femme représentée est Suzanne Valadon, la maîtresse du peintre. Elle est peinte de 3/4, vêtue d’une robe blanche, s’opposant ainsi à son partenaire, vêtu d’un complet sombre et d’un chapeau de paille. Sa position suggère qu’il cherche à embrasser la jeune femme, qui lui oppose sa joue. C’est ce dernier qui mène la danse et l’entreprise de séduction. En arrière plan, la fête semble battre son plein, on y voit deux hommes et une femme attablés, des bières sur la table.
Ce qui émane de ce tableau, c’est l’impression de mouvement, avec cette jupe qui semble tourner, mais aussi l’arrière plan moins net que le premier plan. Il faut préciser que c’est ici l’une des caractéristiques de ce genre pictural: la sensation de mouvement. L’impressionnisme n’a d’ailleurs pas vocation à être une peinture fidèle de la réalité, mais en la suggérant par des impressions.
L’atmosphère qui domine est l’insouciance, la joie. Une impression de légèreté, comme la robe tournoyante de la jeune femme. On retrouve cette insouciance dans Danse à la campagne, qui possède dans sa composition et sa couleur de nombreux points communs, même si le trait est différent. En revanche, on peut opposer Danse à Bougival avec Danse à la ville, représentation de deux bourgeois en train de danser dans une atmosphère plus feutrée.
Yves MONTANT – le chat de la voisine -
ARMAND MESTRAL- « seize tonnes »
Si l’homme est de la boue pour des tas de gens
Il est pour moi fait de chair et de sang
De muscles de fer et d’un coeur trop bon
Et de deux épaules pour charger le charbon
T’en fais seize tonnes, ça te donne quoi ?
Un jour de plus, vers quatre planches de bois
La pelle chaque jour qui prend plus de poids
Mais qui ferait vivre la mine sans toi ?
Quand ta mère a déjà cinq gosses à nourrir
Un de plus n’est pas pour lui faire plaisir
Alors toi, tu bosses comme un lion
Mais le chef a beau dire que t’es un champion
REFRAIN
T’en fais seize tonnes, ça te donne quoi
un jour de plus, vers quatre planches de bois
la crasse qui te ronge et durcit tes doigts
et le droit de te taire, quand tu touches ton mois
a force de te battre comme un damné
l ‘envie te prend d’envoyer tout prom’ner
Mais y a tous les rêves de tes copains
alors tu la boucles mais tu fermes les poings
Quand pendant toute la semaine, tu t’crèves en bas
L’dimanche enfin, tout le ciel est à toi
Et dans tes draps blancs, dès ton réveil,
Les yeux de ta femme sont comme des soleils
T’en fais seize tonnes, ça te donne quoi ?
Un jour enfin où tu peux croire à la joie
l’espoir d’une autre vie pour tes deux p’tits gars
et toute la ville qui pense comme toi
MAMAN -LOUANE
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A OBSERVER LA VIE DANS LES VILLES, LOUANE a perdu tous ses rêves sur lebonheur, le véritable Amour ; tous ses repères sont anéantis par la découverted’une réalité trop dure, et trop crue, dénuée de poésie et de tendresse, une réalitéqui montre que l’être humain dans un contexte vide d’espoir recherche une jouissance coûte que coûte, avec l’énergie du désespoir où l’égoïsme prédomine.
- Les amants passent de lit en lit
- Dans les hôtels, sur les parkings
Pour fuir toute cette mé lancolie
-
Le coeur des villes a mauvaise mine
Des coups de blues, des coups de fil,
Tout recommencera au printemps
Sauf les amours indélébiles.
Les rêves s’entassent dans les métros,
Les grattes-ciel nous regardent de haut
Comme un oiseau sous les barreaux.
J’suis pas bien dans ma tête, maman.
J’ai perdu le goût de la fête, maman.
Regarde comme ta fille est faite, maman.
J’trouve pas de sens à ma quête maman
A l’heure où les bars se remplissent,
Cette même heure où les cœurs se vident.
Ces nuits où les promesses se tissent,
Aussi vite qu’elles se dilapident.
Des coups de blues, des coups de fil,
Tout recommencera au printemps
Sauf les amours indélébiles.
Les rêves s’entassent dans les métros,
Les grattes-ciel nous regardent de haut
Comme un oiseau sous les barreaux.
J’suis pas bien dans ma tête, maman.
J’ai perdu le goût de la fête, maman.
Regarde commeta fille est faite, maman.
J’trouve pas de sens à ma quête
Regarde comme ta fille est faite, maman.
J’trouve pas de sens à ma quête maman