Quels sont les pays où l’on travaille le moins ?
Vous avez l’impression de beaucoup travailler ?
Mais qu’en est-il dans les autres pays ? Quels sont ceux où l’on travaille le moins ? Et où se situe la France ? Réponse en images…
1 – Les Pays-Bas : 1 379 heures de travail par an
Un magazine russe a utilisé les données statistiques de l’OCDE afin d’établir le classement des pays où l’on travaille le plus, et le moins. Résultat : Ce sont les Pays-Bas qui travaillent le moins dans le monde, avec « seulement » 1 379 heures de travail par an…
En revanche, en tête du classement des pays où l’on travaille le plus, on
trouve le Mexique, avec 2 250 heures par an, la Corée du Sud avec 2 193
heures par an, et le Chili avec 2 047 heures par an.
.
.
Dans quels pays travaille-t-on le moins ?
C’est aux Pays-Bas (1379 heures),
en Allemagne (1413 heures),
en Norvège (1426 heures)
… et en France (1476 heures)
que l’on travaille le moins dans le monde.
Un constat toutefois à relativiser selon la productivité des
pays, puisque toujours selon l’OCDE, le PIB par heure
travaillée est de :
17,3 dollars au Mexique, pays où l’on travaille le plus,
tandis qu’il est de
59,8 dollars aux Pays-Bas, pays où l’on travaille le moins.
En France, il est de 57,7dollars
et c’est en Norvège, l’un des pays où l’on travaille le moins,
que l’on rapporte le plus : avec 83 dollars par heure.
ooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooo
Laïcité : la crèche Baby Loup contrainte au déménagement

De vives tensions ont suivi l’annulation du licenciement d’une
salariée voilée. Une proposition de loi d’Éric Ciotti réglementant
le port des signes religieux en entreprise est examinée jeudi.
Le groupe UMP a déposé une proposition de loi, sous l’impulsion d’Éric Ciotti, visant à inclure dans le Code du travail la possibilité pour un chef d’entreprise de réglementer le port de signes religieux sur le lieu de travail. Ce texte doit être examiné dans l’Hémicycle jeudi, lors d’une journée réservée au groupe UMP, mais n’a aucune chance d’être adopté. Il visait cependant à répondre aux questions posées par l’annulation, par la Cour de cassation, du licenciement d’une salariée qui travaillait à la crèche Baby Loup, une crèche aujourd’hui contrainte de déménager. «Vous avez vu La Haine de Mathieu Kassovitz? Alors vous savez où nous sommes situés!», résume un salarié de la crèche.
Dans l’histoire de Baby Loup à Chanteloup-les-Vignes (Yvelines), le 19 mars dernier restera gravé dans toutes les mémoires. Ce jour-là, date de la décision de la Cour de cassation, est également celle où le maire de Conflans (Yvelines) leur propose de les accueillir. Dégoûtée par le manque de soutien de la municipalité de Chanteloup, Baby Loup accepte. Le déménagement aura lieu début 2014.
Dans sa décision, la Cour estime que la crèche Baby Loup étant une entreprise privée, son règlement intérieur ne peut pas interdire les signes religieux au personnel. La crèche, structure associative, a vécu cette décision comme une véritable trahison. Un coup de massue. «Dans un pays où la laïcité est un principe fondateur, on ne peut pas dire c’est un principe dans le public et ne pas en tenir compte dans le privé», défend Éric Ciotti.
Créée il y a vingt-deux ans par une réfugiée politique chilienne, ancienne sage-femme, Natalia Baleato, Baby Loup est ouverte 7 jours sur 7, 24 heures sur 24 pour permettre aux familles avec des horaires décalés de faire garder leurs enfants et favoriser l’émancipation des femmes en leur permettant de travailler. La philosophe féministe Élisabeth Badinter est marraine de la structure.
Les principes de laïcité ne font pas partie de la charte de départ, ils se grefferont par la suite, la neutralité religieuse étant la seule façon de faire cohabiter plus de 55 nationalités différentes. La jeune femme licenciée était directrice-adjointe de la crèche avant de partir en congé maternité et de revenir voilée. Elle avait même participé à la rédaction du règlement intérieur interdisant tout signe religieux au sein de l’établissement. Et, comme le raconte un salarié de la crèche, elle avait rappelé à l’ordre des éducatrices qui «oubliaient sciemment de retirer leur voile quand elles commençaient à travailler». Après ce licenciement, la tension monte entre certains parents et la direction de la crèche.
Personnel déboussolé
«Avec la décision de la Cour de cassation, on avait perdu la partie. C’est du moins de cette façon que les choses ont été perçues dans le quartier, confie au Figaro Didier Cros, trésorier de l’association Baby Loup. Le personnel aussi a été déboussolé alors que nous avions jusqu’alors une légitimité laïque.» L’association décrit une «irritation latente» des familles qui de plus en plus, expriment des exigences liées à la religion. «On est à seulement 20 km de Paris et on est dans un autre monde, dénonce Me Richard Malka, l’avocat de la crèche. Ici, même les policiers ne veulent plus venir.» L’ambiance se dégrade. Apparaissent par exemple des demandes d’alimentation halal pour les enfants. «Certains parents n’hésitent pas à faire pression sur le personnel musulman de la crèche pour les prendre à partie, explique Didier Cros, trésorier de l’association. La direction n’a donc plus de légitimité et elle doit jongler au quotidien avec le poids communautaire de certains parents et membres du personnel.»
Autre exemple avec ce père de famille qui exige que son enfant soit réveillé après une heure de sieste au motif que s’il dort plus la journée, il est «intenable» le soir. Refus des puéricultrices qui lui expliquent qu’on ne réveille pas un enfant. Le père s’emporte, les insultes fusent, («sale Blanche» est lâché), l’homme demande à voir du personnel musulman. Les parents sont convoqués par la direction qui propose d’appeler la police. Le père répond qu’il n’a pas peur et qu’il a déjà fait cinq ans de prison… Me Richard Malka confie «craindre tous les jours un dérapage».
Le personnel de la crèche ne peut plus sortir fumer sans se faire insulter. Leurs pneus de voitures sont crevés, les carrosseries rayées. Les assiettes des enfants sont illustrées avec des petits animaux: girafe, chevaux, cochons, ce qui leur a valu des qualifications d’islamophobes. «Il y a deux semaines, l’Inspection du travail nous a envoyé une injonction pour réécrire le règlement et autoriser le port du voile, confie Me Malka. Nous n’avons pas encore répondu. La République nous laisse tomber après nous avoir planté un couteau dans le dos avec la décision de la Cour de cassation. Je ne mets pas en doute les propos de François Hollande concernant la laïcité mais maintenant, il faut passer aux actes. Car si on voulait propager les thèses du FN on ne s’y prendrait pas mieux.»
Et les enfants? Didier Cros s’indigne: finalement, ils restent les oubliés de l’histoire. «Le ministre de l’Éducation parle de morale laïque à l’école. Mais quid avant? C’est à la crèche que se fait la construction de l’enfant.
♥♥
Triste constatation.les faits parlent d’eux-mêmes ♥♥
oooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooo
MANIPULATION DES MUTUELLES ET DE L’ETAT (à regarder et écouter jusqu’à la fin)
La grève des médecins expliquée ! Stop à la manipulation politique !
de DrPepperFR • 332 081 vues
La grève des médecins expliquée !
Petit cours de manipulation politique …IQUE
IMPORTANT : La France Mutualiste, citée en exemple dans la
LA POLITIQUE EST VRAIMENT UNE MAFIA INFAME
« LE MUR DES CONS » signé par le syndicat de la magistrature

VIDÉO – Le site Atlantico a publié mardi une vidéo «tournée en cachette» de ce qu’il appelle le «Mur des cons» du Syndicat de la Magistrature. Autrement dit, des personnages – hommes politiques (majoritairement de droite), intellectuels, et journalistes – honnis des magistrats.
Le Syndicat de la Magistrature recèle quelques secrets au sein de ses locaux. L’un d’entre eux vient d’être révélé par le site internet Atlantico. Un «Mur des Cons» a été découvert dans la «salle principale du local syndical» par un «juge apolitique et non syndiqué», qui accompagnait un collègue au siège du SM. Le Figaro est en mesure, selon ses informations, de confirmer l’existence de ce mur. Sidéré, le magistrat a immédiatement sorti son téléphone portable pour filmer cette stupéfiante découverte: un gigantesque panneau surplombé d’une affichette sur laquelle est écrit «Mur des Cons». Dessus, de nombreux portraits de personnalités politiques – majoritairement de droite – se superposent: Nicolas Sarkozy, Eric Woerth, Edouard Balladur, Nadine Morano, François Baroin, Luc Chatel, Michèle Alliot-Marie, Luc Ferry, Eric Besson, Christian Jacob, ou encore Patrick Balkany. Des journalistes et patrons de presse aussi – Éric Zemmour, Étienne Mougeotte, Patrick Le Lay, Yves Thréard, Béatrice Schoenberg, David Pujadas – et des intellectuels – Jacques Attali, Alain Minc, Guy Sorman, Alexandre Adler. Tous sont mis au pilori du syndicat.
Le «Mur des Cons» du SM pousse l’injure plus loin. Selon Atlantico, «certains (portraits) sont marqués d’un signe supplémentaire ‘d’infamie’», comme un autocollant du Front National. Celui de l’ancien ministre de l’Intérieur, Brice Hortefeux, est lui affublé de la mention «L’homme de Vichy». La liste serait par ailleurs appelée à évoluer. Chaque magistrat syndiqué est invité à y ajouter une nouvelle personnalité publique à honnir. Mais il doit auparavant s’assurer que son «con» ne figure pas déjà sur le tableau de chasse du syndicat.
Contacté par Le Figaro, l’ancien ministre de l’Éducation nationale, Luc Ferry, fait part de sa stupéfaction. «Je tombe des nues, d’autant plus que je n’ai jamais eu à faire à la justice. Je suis complètement scotché», réagit-il. «Ils ont dû mettre (sur ce mur) tous les proches de Nicolas Sarkozy, car c’est lui qui est visé avant tout. Et comme j’avais pris sa défense pendant son quinquennat, notamment sur les jurés populaires, ils m’ont catalogué comme quelqu’un de droite», analyse-t-il, qualifiant cette liste noire d’«inquiétante».
Le député des Français de l’étranger, Thierry Mariani, interroge lui aussi la «prétendue indépendance» de la justice défendue par le gouvernement. «Je pose solennellement la question à Madame Taubira: Vous, qui affirmiez il y a encore quelques semaines vouloir renforcer l’indépendance de la Justice, de quelle manière allez-vous réagir à cet aveu cinglant de collusion entre le pouvoir politique et le pouvoir judiciaire? L’acharnement que vous avez mis dans le débat biaisé sur le mariage pour tous vous aurait-il éloignée de votre mission principale, qui est de garantir l’indépendance de la Justice?»
L’ancien directeur du Figaro, Étienne Mougeotte, s’insurge contre une «pratique totalitaire». «Si cela se confirme, comme semble le prouver la vidéo, c’est totalement inacceptable», s’insurge-t-il. «Imaginons qu’un syndicat de magistrats de droite ait fait une liste de «salopards» de gauche: vous imaginez les réactions? C’est un scandale absolu.»
Un mur «défouloir» établi «sous l’ère Sarkozy»
Interrogée par l’AFP, la présidente du SM, Françoise Martres, s’est défendue expliquant que les images incriminées avaient été prises à leur «insu dans un lieu privé, (…) qui n’est pas accessible au public». Tentant d’éteindre la polémique, elle a qualifié le mur de «défouloir» et d’action de «potache». «Il a été fait à une ancienne époque, sous l’ère Sarkozy, où les magistrats étaient attaqués de toutes parts», a-t-elle ajouté, en déplorant que ces images aient été filmées «par des journalistes qui n’ont pas respecté leur parole».
Créé en 1968, le Syndicat de la magistrature représente au total un tiers des magistrats de l’ordre judiciaire. Proche de la gauche,* il avait appelé lors de la dernière campagne présidentielle à voter contre le chef de l’État sortant, Nicolas Sarkozy*. La garde des Sceaux, Christiane Taubira, avait ouvert son 46e Congrès en novembre dernier. La polémique suscitée par son «mur des cons» soulève aujourd’hui une question: celle de son indépendance.
* Est-ce vraiment un acte d’impartialité ???
♦
L’indépendance des juges est, on le sait, un des fondements de la République. La garde des Sceaux, Christiane Taubira, en est la garante. Quand Henri Guaino s’en est pris au juge Gentil, lui reprochant de déshonorer sa fonction, elle l’a fait poursuivre. Elle était dans son rôle et dans son droit. Mais Mme Taubira doit aussi veiller à l’impartialité des magistrats et protéger les justiciables contre toute frénésie idéologique qui ferait d’eux des cibles. Elle s’honorerait en faisant abattre ce mur de la honte qui figure triomphalement dans les locaux du Syndicat de la magistrature. La liberté de penser n’est pas la liberté de haïr… Sinon, que la garde des Sceaux remplace le code pénal par la loi du lynchage. Et qu’en bonne logique – la logique du Syndicat de la magistrature – elle débaptise les tribunaux pour les appeler Comités de Salut Public. Cette instance, très expéditive, fit fureur sous la Terreur.
de Benoist RAYSKI (Atlantico)
PEUT-ON PARLER DE JUSTICE IMPARTIALE ????
F L U X R S S