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guerre civile D’ESPAGNE – CHANTS DE RESISTANCE : La sardane »la santa espina – « l’estaca »

 la guerre quelle atrocité !!

 

tres de Mayo est « la première grande toile qui peut être qualifiée de révolutionnaire dans tous les sens du terme : par son style, son sujet et son intention4 ».

« Le peuple de Madrid abusé s’est laissé entraîner à la révolte et au meurtre » note le 2 mai 1808 Murat, chef des armées de Napoléon en Espagne. Il poursuit : « Du sang français a coulé. Il demande à être vengé »5. Tous les Espagnols en armes faits prisonniers lors de la révolte sont fusillés. Environ 400 personnes sont exécutées.

 

 

image: http://toutsurlebrevet.com/onewebstatic/ba9ff8dafa-1280px-El_Tres_de_Mayo%2C_by_Francisco_de_Goya%2C_from_Prado_in_Google_Earth.jpg

guerre civile D'ESPAGNE - CHANTS DE RESISTANCE : La sardane

En savoir plus sur http://toutsurlebrevet.com/les-oeuvres-d-histoire-de-l-art/tres-de-mayo.html#ZK1xeiBugFupTQVS.99

tres de mayo 1814

 

MAIS LA GUERRE CIVILE  EST ENCORE PLUS TERRIBLE

 

mqdefault dans politique

jean ferrat Maria

chanson Maria de Jean Ferrat.

La guerre civile en Espagne …

 

Cette chanson a été composée par le chanteur Lluis Llach en 1968. Elle a été traduite en de nombreuses langues.


« Estaca » signifie « pieu » en français. Dans cette chanson, le pieu

est le symbole de Franco.


C’est un appel à l’unité d’action pour accéder à la liberté. C’est sous la dictature du Général Franco qu’elle fut composée.


Le syndicat polonais Solidarnosc en fit son hymne.


Marc Ogeret l’a reprise en français sous le titre L’Estaque et Marc Robine sous le titre Le Pieu.


On pourrait encore citer Zebda, Les Femmouzes T, Jean-Bernard Plantevin…

A VISIONNER

chante des chansons qui parlent de liberté

Marc Robine – Le Pieu (l’estaca en catalan chanson écrite par LLUIS LLACH)

Du temps où je n’étais qu’un gosse
Mon grand-père me disait souvent…

LE  PIEU (L’estaca en catalan) est une chanson populaire et

historique composée en 1968 par le chanteur catalan Lluís Llach.

Cette chanson est vraiment un chef-d’œuvre. Elle a été traduite dans

de nombreuses langues, parce qu’elle chante à la liberté.

Elle est considérée comme une chanson engagée puisque la version

originale a été écrite pendant la dictature de Franco en Espagne et

est une critique de la dictature, de la société et de la perte des libertés.

Bien que Le pieu ait été écrite il y a 45 ans, aujourd’hui encore

chacun de ses mots a du sens quand la chanson est  chantée.

1968 est vraiment une année importante, l’Espagne continue avec

la dictature et en France commence « Le Mai français »

, où la ville de Paris est le cadre d’un des événements qui ont marqué

l’histoire de la France contemporaine par la succession

de grèves et de manifestations spontanées. Cette chanson est donc

très connue en France aussi.

J’ai choisi pour ce travail l’interprétation de Marc Robine, qui a fait

une nouvelle version de cette chanson en 1976.

À mon avis, c’est une chanson qu’on ne peut pas oublier parce qu’elle

est liée à la société.

 

LE PIEU 


(paroles de Lluís Llach )

 

Du temps où je n’étais qu’un gosse


Mon grand-père me disait souvent
Assis à l’ombre de son porche
En regardant passer le vent
Petit vois-tu ce pieu de bois
Auquel nous sommes tous enchaînés
Tant qu’il sera planté comme ça
Nous n’aurons pas la liberté

(refrain)
Mais si nous tirons tous, il tombera
Ca ne peut pas durer comme ça
Il faut qu’il tombe, tombe, tombe
Vois-tu comme il penche déjà
Si je tire fort il doit bouger
Et si tu tires à mes côtés
C’est sûr qu’il tombe, tombe, tombe
Et nous aurons la liberté

Petit ça fait déjà longtemps
Que je m’y écorche les mains
et je me dis de temps en temps
Que je me suis battu pour rien
Il est toujours si grand si lourd
La force vient à me manquer
Je me demande si un jour
Nous aurons bien la liberté

(refrain)
Mais si nous…

Puis mon grand-père s’en est allé
Un vent mauvais l’a emporté
Et je reste seul sous le porche
En regardant jouer d’autres gosses
Dansant autour du vieux pieu noir
Où tant de mains se sont usées
Je chante des chansons d’espoir
Qui parlent de la liberté

 

 

lus sur la sardane

 dans société

La Santa Espina cat Paroles de la sardane La Santa Espina
(Sardana)

Som i serem gent catalna,
tant si es vol com si no es vol,
que no hi ha terra més ufana
sota la capa del sol. (bis)

Déu va passar i en primavera
i tot cantava al seu pas,
canta la terra encara entera
i canta que cantaràs.

Canta l’ocell, el riu, la planta,
canta la lluna i el sol.
Tot treballant, la dona canta
i canta al peu del bressol.

I canta a dintre de la terra,
el passat jamai passat,
i jorns i nits, de serra en serra
com tot, canta el Montserrat.

Fill meu per Catalunya
vull veure’t gran i fort ;
fes cara als que l’ultrajin
I per ella, viu i mort.

Som i serem gent catalana
tant si es vol com si no es vol,
que no hi ha terra més ufana
sota la capa del sol.

De Catalunya a Valencia,
de Mallorca a Rossello
tot és la braca d’un arbre

com pel mon, no n’hi ha de prio.

 

 

A REGARDER EN PLEIN ECRAN.

Sardana « La santa espina »

CATALA : Des de l’Auditori de Barcelona, tancament d’un concert d’any nou cap a finals dels anys 90.
Contingut propietat de TV de Catalunya…

Traduction Française

La Santa Espina fra Paroles de la sardane La Santa Espina
La Sainte Épine
(Sardane)

Nous sommes et resterons hommes catalans
Que tu le veuilles ou non
Car il n’y a pas de terre plus fière
Sous la cape du soleil (bis)

Dieu est passé par là au printemps
et tout chantait sous ses pas,
chante la terre toute entière
et chante que tu chanteras.

Chante l’oiseau, la rivière, la plante,
chante la lune et le soleil.
Tout en travaillant, la femme chante
Et elle chante au pied du berceau.

Et chante à l’intérieur de la terre,
Le passé jamais passé,
Les jours et les nuits, de montagne en montagne
Comme tout chante à Montserrat.

Mon fils pour la Catalogne
Je veux te voir grand et fort ;
Fais face à ceux qui l’outragent
Et pour elle, vit et meurt.

Nous sommes et resterons hommes catalans
que tu le veuilles ou non
Car il n’y a pas de terre plus fière
Sous la chape du soleil.

De Catalogne à Valence,
De Majorque au Roussillon,
Tout est la branche d’un arbre

Comme dans le monde, il n’y en a pas de pareil.

* sardane : danse traditionnelle catalane
+ plus sur la sardane

♥♥ combien faut-il de larmes et de sang

pour préserver la liberté……??? elle n’est

jamais acquise, toujours remise en

question au fil des siècles, où lorsqu’on

voit ressurgir la misère,  le chômage, les

bas salaires, il faut être plus que jamais

attentif à ce qu’on veut nous imposer par

la force !!!!!! .♥♥ 


En regardant passer le vent :

« Petit, vois-tu ce pieu de bois

Auquel nous sommes tous enchaînés

Tant qu’il sera planté comme ça

Nous n’aurons pas la liberté

Mais si nous tirons tous, il tombera

Ca ne peut pas durer comme ça

Il faut qu’il tombe, tombe, tombe.

Vois-tu, comme il penche déjà.

Si je tire fort, il doit bouger

Et si tu tires à mes côtés 

C’est sûr qu’il tombe, tombe, tombe

Et nous aurons la liberté.

Petit, ça fait déjà longtemps

Que je m’y écorche les mains

Et je me dis de temps en temps

Que je me suis battu pour rien

Il est toujours si grand, si lourd,

La force vient à me manquer

Je me demande si un jour

Nous aurons la liberté. »

Puis mon grand-père s’en est allé

Un vent mauvais l’a emporté

Et je reste seul sous le porche

A regarder jouer d’autres gosses

Dansant autour du vieux pieu noir

Où tant de mains se sont usées

Je chante des chansons d’espoir

Qui parlent de liberté.

 

 

 

      Du temps où je n’étais qu’un gosse

Mon grand-père me disait souvent,

Assis à l’ombre de son porche

En regardant passer le vent :

« Petit, vois-tu ce pieu de bois

Auquel nous sommes tous enchaînés

Tant qu’il sera planté comme ça

Nous n’aurons pas la liberté

Mais si nous tirons tous, il tombera

Ca ne peut pas durer comme ça

Il faut qu’il tombe, tombe, tombe.

Vois-tu, comme il penche déjà.

Si je tire fort, il doit bouger

Et si tu tires à mes côtés 

C’est sûr qu’il tombe, tombe, tombe

Et nous aurons la liberté.

Petit, ça fait déjà longtemps

Que je m’y écorche les mains

Et je me dis de temps en temps

Que je me suis battu pour rien

Il est toujours si grand, si lourd,

La force vient à me manquer

Je me demande si un jour

Nous aurons la liberté. »

Puis mon grand-père s’en est allé

Un vent mauvais l’a emporté

Et je reste seul sous le porche

A regarder jouer d’autres gosses

Dansant autour du vieux pieu noir

Où tant de mains se sont usées

 

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