Le 23/08/2013 à 18:38
Les promesses de « MOI président » prennent l’eau, elles sont submergées par le tsunami de la corruption.
Les promesses de « MOI président » prennent l’eau, elles sont submergées par le tsunami de la corruption.
Malheureusement la Nation n’a plus un sou pour développer les énergies renouvelables, et la classe dirigeante se moque éperdûment des ravages occasionnés par les énergies fossiles, pour la bonne raison que si rien ne va plus en FRANCE pour quelque raison que ce soit, elle aura toujours la possibilité de s’expatrier ailleurs comme tous ces financiers, et grands propriétaires fortunés. A quoi sert donc de faire semblant de taxer toute cette classe privilègiée si elle s’exempte elle-même de tous les devoirs qu’elle impose aux autres.???
Petite leçon d’Europe par Jean Gabin dans « Le président »
archives
PETITE LECON D’EUROPE CONDUITE MAGISTRALEMENT PAR JEAN GABIN DANS LE FILM « LE PRESIDENT »
Posté dans 19 février, 2013 dans politique.
A REGARDER EN PLEIN ECRAN (en regardant cet extrait on peut regretter de
ne pas avoir un orateur aussi brillant dans notre Assemblée !!)

Le Président (1961) (Complet)
Le Président – Sortie le 1 Mars 1961 Directeur : Henri Verneuil Avec Jean Gabin, Bernard Blier, Renée Faure Agé de 73 ans, l’ex …
Un monumental Jean Gabin dans le film « Le président »
Le Carnaval vient de se terminer, tous ces Messieurs de l’assemblée sont si bien travestis qu’on ne les reconnait pas !
Mais « Le Président » en arrachant leurs masques nous dévoile la laideur de la cupidité, et de la tromperie !!
La politique devrait être une vocation……… Hélas elle n’est qu’une profession où les fraudeurs font recette au mépris du peuple.
flux rss
guerre civile D’ESPAGNE – CHANTS DE RESISTANCE : La sardane »la santa espina – « l’estaca »
la guerre quelle atrocité !!
tres de Mayo est « la première grande toile qui peut être qualifiée de révolutionnaire dans tous les sens du terme : par son style, son sujet et son intention4 ».
« Le peuple de Madrid abusé s’est laissé entraîner à la révolte et au meurtre » note le 2 mai 1808 Murat, chef des armées de Napoléon en Espagne. Il poursuit : « Du sang français a coulé. Il demande à être vengé »5. Tous les Espagnols en armes faits prisonniers lors de la révolte sont fusillés. Environ 400 personnes sont exécutées.
image: http://toutsurlebrevet.com/onewebstatic/ba9ff8dafa-1280px-El_Tres_de_Mayo%2C_by_Francisco_de_Goya%2C_from_Prado_in_Google_Earth.jpg
En savoir plus sur http://toutsurlebrevet.com/les-oeuvres-d-histoire-de-l-art/tres-de-mayo.html#ZK1xeiBugFupTQVS.99
tres de mayo 1814
MAIS LA GUERRE CIVILE EST ENCORE PLUS TERRIBLE

jean ferrat Maria
chanson Maria de Jean Ferrat.
La guerre civile en Espagne …
Cette chanson a été composée par le chanteur Lluis Llach en 1968. Elle a été traduite en de nombreuses langues.
« Estaca » signifie « pieu » en français. Dans cette chanson, le pieu
est le symbole de Franco.
C’est un appel à l’unité d’action pour accéder à la liberté. C’est sous la dictature du Général Franco qu’elle fut composée.
Le syndicat polonais Solidarnosc en fit son hymne.
Marc Ogeret l’a reprise en français sous le titre L’Estaque et Marc Robine sous le titre Le Pieu.
On pourrait encore citer Zebda, Les Femmouzes T, Jean-Bernard Plantevin…
A VISIONNER
chante des chansons qui parlent de liberté
Marc Robine – Le Pieu (l’estaca en catalan chanson écrite par LLUIS LLACH)
Du temps où je n’étais qu’un gosse
Mon grand-père me disait souvent…
Mon grand-père me disait souvent…
LE PIEU (L’estaca en catalan) est une chanson populaire et
historique composée en 1968 par le chanteur catalan Lluís Llach.
Cette chanson est vraiment un chef-d’œuvre. Elle a été traduite dans
de nombreuses langues, parce qu’elle chante à la liberté.
Elle est considérée comme une chanson engagée puisque la version
originale a été écrite pendant la dictature de Franco en Espagne et
est une critique de la dictature, de la société et de la perte des libertés.
Bien que Le pieu ait été écrite il y a 45 ans, aujourd’hui encore
chacun de ses mots a du sens quand la chanson est chantée.
1968 est vraiment une année importante, l’Espagne continue avec
la dictature et en France commence « Le Mai français »
, où la ville de Paris est le cadre d’un des événements qui ont marqué
l’histoire de la France contemporaine par la succession
de grèves et de manifestations spontanées. Cette chanson est donc
très connue en France aussi.
J’ai choisi pour ce travail l’interprétation de Marc Robine, qui a fait
une nouvelle version de cette chanson en 1976.
À mon avis, c’est une chanson qu’on ne peut pas oublier parce qu’elle
est liée à la société.
LE PIEU
(paroles de Lluís Llach )
Du temps où je n’étais qu’un gosse
Mon grand-père me disait souvent
Assis à l’ombre de son porche
En regardant passer le vent
Petit vois-tu ce pieu de bois
Auquel nous sommes tous enchaînés
Tant qu’il sera planté comme ça
Nous n’aurons pas la liberté
(refrain)
Mais si nous tirons tous, il tombera
Ca ne peut pas durer comme ça
Il faut qu’il tombe, tombe, tombe
Vois-tu comme il penche déjà
Si je tire fort il doit bouger
Et si tu tires à mes côtés
C’est sûr qu’il tombe, tombe, tombe
Et nous aurons la liberté
Petit ça fait déjà longtemps
Que je m’y écorche les mains
et je me dis de temps en temps
Que je me suis battu pour rien
Il est toujours si grand si lourd
La force vient à me manquer
Je me demande si un jour
Nous aurons bien la liberté
(refrain)
Mais si nous…
Puis mon grand-père s’en est allé
Un vent mauvais l’a emporté
Et je reste seul sous le porche
En regardant jouer d’autres gosses
Dansant autour du vieux pieu noir
Où tant de mains se sont usées
Je chante des chansons d’espoir
Qui parlent de la liberté

La Santa Espina 
(Sardana)
Som i serem gent catalna,
tant si es vol com si no es vol,
que no hi ha terra més ufana
sota la capa del sol. (bis)
Déu va passar i en primavera
i tot cantava al seu pas,
canta la terra encara entera
i canta que cantaràs.
Canta l’ocell, el riu, la planta,
canta la lluna i el sol.
Tot treballant, la dona canta
i canta al peu del bressol.
I canta a dintre de la terra,
el passat jamai passat,
i jorns i nits, de serra en serra
com tot, canta el Montserrat.
Fill meu per Catalunya
vull veure’t gran i fort ;
fes cara als que l’ultrajin
I per ella, viu i mort.
Som i serem gent catalana
tant si es vol com si no es vol,
que no hi ha terra més ufana
sota la capa del sol.
De Catalunya a Valencia,
de Mallorca a Rossello
tot és la braca d’un arbre
com pel mon, no n’hi ha de prio.
A REGARDER EN PLEIN ECRAN.
Sardana « La santa espina »
CATALA : Des de l’Auditori de Barcelona, tancament d’un concert d’any nou cap a finals dels anys 90.
Contingut propietat de TV de Catalunya…
Traduction Française
La Santa Espina 
La Sainte Épine
(Sardane)
Nous sommes et resterons hommes catalans
Que tu le veuilles ou non
Car il n’y a pas de terre plus fière
Sous la cape du soleil (bis)
Dieu est passé par là au printemps
et tout chantait sous ses pas,
chante la terre toute entière
et chante que tu chanteras.
Chante l’oiseau, la rivière, la plante,
chante la lune et le soleil.
Tout en travaillant, la femme chante
Et elle chante au pied du berceau.
Et chante à l’intérieur de la terre,
Le passé jamais passé,
Les jours et les nuits, de montagne en montagne
Comme tout chante à Montserrat.
Mon fils pour la Catalogne
Je veux te voir grand et fort ;
Fais face à ceux qui l’outragent
Et pour elle, vit et meurt.
Nous sommes et resterons hommes catalans
que tu le veuilles ou non
Car il n’y a pas de terre plus fière
Sous la chape du soleil.
De Catalogne à Valence,
De Majorque au Roussillon,
Tout est la branche d’un arbre
Comme dans le monde, il n’y en a pas de pareil.
* sardane : danse traditionnelle catalane
+ plus sur la sardane
♥♥ combien faut-il de larmes et de sang
pour préserver la liberté……??? elle n’est
jamais acquise, toujours remise en
question au fil des siècles, où lorsqu’on
voit ressurgir la misère, le chômage, les
bas salaires, il faut être plus que jamais
attentif à ce qu’on veut nous imposer par
la force !!!!!! .♥♥
En regardant passer le vent :
« Petit, vois-tu ce pieu de bois
Auquel nous sommes tous enchaînés
Tant qu’il sera planté comme ça
Nous n’aurons pas la liberté
Mais si nous tirons tous, il tombera
Ca ne peut pas durer comme ça
Il faut qu’il tombe, tombe, tombe.
Vois-tu, comme il penche déjà.
Si je tire fort, il doit bouger
Et si tu tires à mes côtés
C’est sûr qu’il tombe, tombe, tombe
Et nous aurons la liberté.
Petit, ça fait déjà longtemps
Que je m’y écorche les mains
Et je me dis de temps en temps
Que je me suis battu pour rien
Il est toujours si grand, si lourd,
La force vient à me manquer
Je me demande si un jour
Nous aurons la liberté. »
Puis mon grand-père s’en est allé
Un vent mauvais l’a emporté
Et je reste seul sous le porche
A regarder jouer d’autres gosses
Dansant autour du vieux pieu noir
Où tant de mains se sont usées
Je chante des chansons d’espoir
Qui parlent de liberté.
Du temps où je n’étais qu’un gosse
Mon grand-père me disait souvent,
Assis à l’ombre de son porche
En regardant passer le vent :
« Petit, vois-tu ce pieu de bois
Auquel nous sommes tous enchaînés
Tant qu’il sera planté comme ça
Nous n’aurons pas la liberté
Mais si nous tirons tous, il tombera
Ca ne peut pas durer comme ça
Il faut qu’il tombe, tombe, tombe.
Vois-tu, comme il penche déjà.
Si je tire fort, il doit bouger
Et si tu tires à mes côtés
C’est sûr qu’il tombe, tombe, tombe
Et nous aurons la liberté.
Petit, ça fait déjà longtemps
Que je m’y écorche les mains
Et je me dis de temps en temps
Que je me suis battu pour rien
Il est toujours si grand, si lourd,
La force vient à me manquer
Je me demande si un jour
Nous aurons la liberté. »
Puis mon grand-père s’en est allé
Un vent mauvais l’a emporté
Et je reste seul sous le porche
A regarder jouer d’autres gosses
Dansant autour du vieux pieu noir
Où tant de mains se sont usées
LYCEENS MANIPULES POUR DES POLEMIQUES STERILES
Les lycéens continuent d’être manipulés par les médias, et les
politiques (AFFAIRE LEONARDA OBLIGE )
En 2010 j’écrivais, ce qui suit, aujourd’hui le sujet n’est pas la grève, mais
l’affaire LEONARDA…….. rien n’a changé depuis….. les lycéens sont
toujours un outil puissant pour les polémiques stériles
les lycéens veulent faire grève demain pour la retraite…..
Qu’ils travaillent d’abord ! dans une quarantaine d’années, ils auront voix au chapitre si les retraites par répartition, seront toujours d’actualité à ce moment là : j’en doute fort, si rien n’est fait pour financer les retraites.
Peut-on parler de grève chez les lycéens ? MALHEUREUSEMENT NON : ils sont manipulés par leurs parents, leurs enseignants, les syndicats. C’est le principe des jeunesses communistes, de la jeunesse à qui on impose une religion, et dans un passé tragique des jeunesses hitlériennes, franquistes,(la phalange), mussoliniennes (camicie nere) etc…. j’en passe et des meilleurs.
Les hommes sont des moutons de panurge, méfiez – vous à ne pas vous laisser prendre à ceux qui crient le plus fort, et ne pensent qu’à leurs intérêts.
Soyez attentifs, jeunes gens, à ne pas être embrigadés, à ne pas vous battre pour les idées des autres,.
Réfléchissez et agissez selon vos propres idées Si vous faites des études, c’est justement pour distinguer ce qu’il y a de vrai derrière de beaux discours. Lire entre les lignes ,voila un art difficile.
sachez analyser un texte c’est primordial pour garder son « quant à soi »
Tirez les avantages et les inconvénients d’une idée qui sera bonne pour une majorité d’individus, c’est la vrai justice.
Faites progresser l’humanité vers le bien vous en serez les premiers récompensés
NE SUIVEZ PAS AVEUGLEMENT UN CHEF DE FILE qui, soyez en sûrs, ne détient pas, à lui tout seul , la vérité.
Nous vivons une époque, où l’on voit s’effondrer toutes nos anciennes conceptions. Dans le monde entier, la politique est en faillite, il nous faut trouver des idées nouvelles, car l’avenir des nations, n’est ni dans une politique de gauche, ni dans une politique de droite.
CHERCHONS DONC UNE AUTRE FACON DE VIVRE , PLUS JUSTE POUR TOUT LE MONDE.
Portez haut le débat, ne réduisez pas votre idéal à la retraite à 60 ans, qui finalement sera la fin de votre vie. la fin de vos illusions ! …. Mais sauvegardez la retraite par répartition, retraite solidaire s’il en est, puisque garantie par l’état (au moins jusqu’à présent). Faites en sorte qu’elle demeure.
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Renvoyons au plus vite Pépère dans sa Corrèze !
Renvoyons au plus vite Pépère dans sa Corrèze !
4 juin 2013
Cette histoire commence dans la Corrèze profonde,
Occupé à ruiner sa terre d’élection,
Hollande rêvait déjà de la France et du Monde,
D’appauvrir maintenant le reste de la nation.
C’est qu’il aimait les pauvres, cet enfant de notable,
Il les aimait tellement, qu’il en voulait encore,
C’est qu’il mesurait bien qu’une voix est changeable,
Contre l’espoir vain d’une vie de confort.
Voilà notre Pépère, l’absent des ministères,
Se rêver dans la peau des grands hommes de la France,
Pensant que cette terre, plusieurs fois millénaire,
Méritait maintenant une nouvelle espérance.
Alors il entama sa marche triomphale,
Promit le changement et la justice partout,
Il mentait tant et tant, qu’à une heure vespérale,
D’un mois de mai maudit, la France choisit le mou.
La Bastille envahie de drapeaux étrangers,
Les artistes généreux avec l’argent public,
Le retour à Paris à bord de jets privés,
Lançaient le quinquennat du petit boulimique.
Et celui qui voulait rassembler le pays,
Soignant son premier geste au sommet du perron,
Méprisa le vaincu et la France avec lui,
Présenta son séant en tournant les talons.
Les choses était lancées et l’euphorie passée,
Hollande découvrit les ficelles du métier,
La crise que jusqu’alors il ne voulait pas voir,
Nourrissait ses journées jusque dans ses cauchemars.
Le monde a bien bougé depuis 81,
Mais cette gauche momifiée ne veut pas changer d’ère,
Il reste une unique chose qu’elle sait faire très bien,
C’est détruire les emplois et semer la misère.
En 10 tout petits mois, en moins d’un an seulement,
Ils auront réussi avec un grand talent,
A reléguer la France dans le camp des perdants,
Tout en scandant encore « le changement c’est maintenant ».
Mais sur ce point au moins ils n’auront pas menti,
Le changement est criant depuis ce jour maudit,
Où le peuple berné, a porté au pouvoir,
Le chef le plus mauvais de notre longue histoire.
Lui Président voulait rompre avec le passé,
Prendre de la hauteur, montrer sa dignité
Et se vautra très vite dans la médiocrité,
Montrant qu’il avait feint son souci d’unité.
Lui Président voulait incarner le pouvoir,
De sa normalité avait fait un devoir,
La France découvrit que ce très grand flemmard,
Ne gouvernait même pas dans son propre plumard.
Lui Président voulait rompre avec ces années,
Où la France était forte, écoutée des alliés,
Il réussit l’exploit d’un revers de la main,
De fâcher notre France et son voisin germain.
Lui Président voulait être proche des gens,
Se faire aimer aussi des petits et des grands,
Mais sa légèreté aux affaires de l’Etat,
Dans l’abime sondagière pour longtemps le plongea.
Lui Président voulait conduire de grands débats,
Mais le mariage pour tous que la France ne veut pas,
Devra passer quand même et si le peuple gronde,
C’est qu’il est vérolé par des idées immondes.
La machine est en panne, l’économie en crise,
La croissance un souvenir, ils n’ont plus la maîtrise,
Et si en mai dernier, les Français ont choisi,
Ceux qui vont nous ruiner, c’est qu’ils avaient menti.
Alors ne laissons pas ces vendeurs de misère,
Détruire plus encore le pays des Lumières,
Faisons jaillir la flamme, rallumons cette braise,
Renvoyons au plus vite, Pépère dans sa Corrèze !
♥♥ TOUT EST DIT ♥♥
Fermeture immédiate de l’usine
Francois Asselineau (Crime contre la paix et crime de guerre : le 5 février 2003 à l’ONU, Washington présentait ses « preuves » pour bombarder l’Irak
avant propos
=== INFORMATION : LES 2 PAGES FACEBOOK VIENNENT D’ÊTRE DÉBLOQUÉES ===
L’article « CRIME CONTRE LA PAIX ET CRIMES DE GUERRE » – rappelant par le détail comment Washington avait désinformé l’opinion publique mondiale le 5 février 2003 à l’ONU – nous a valu d’être censuré sans explication par Facebook et de voir nos 2 pages Facebook interdites de nouvelles publications pendant 3 jours.
Ce blocage vient d’être levé.
Nous allons donc pouvoir recommencer les publications et remettre à jour le compteur des adhérents.
Nous préférons ne pas commenter cet acte de censure perpétré par Facebook, probablement à l’initiative d’un surveillant quelconque.…Afficher la suite
L’article « CRIME CONTRE LA PAIX ET CRIMES DE GUERRE » – rappelant par le détail comment Washington avait désinformé l’opinion publique mondiale le 5 février 2003 à l’ONU – nous a valu d’être censuré sans explication par Facebook et de voir nos 2 pages Facebook interdites de nouvelles publications pendant 3 jours.
Ce blocage vient d’être levé.
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Nous préférons ne pas commenter cet acte de censure perpétré par Facebook, probablement à l’initiative d’un surveillant quelconque.…Afficher la suite
Crime contre la paix et crime de guerre : le 5 février 2003 à l’ONU,
Washington présentait ses « preuves » pour bombarder l’Irak
Crime contre la paix et crime de guerre : le 5 février 2003 à l’ONU, Washington présentait ses « preuves » pour bombarder l’Irak
Le 5 février 2003, il y a 10 ans et 7 mois jour pour jour, le Secrétaire d’État américain Colin POWELL fit une intervention très longue et très attendue devant le Conseil de Sécurité des Nations Unies pour apporter les « preuves » de la détention « d’armes de destruction massive » par le régime de Saddam Hussein en Irak.
Pendant environ 80 minutes, en appuyant ses propos de projections vidéos de photographies, de plans et d’organigrammes, le chef de la diplomatie de George W. Bush avait exposé, devant les membres du Conseil de Sécurité et les tribunes remplies de journalistes du monde entier, les « preuves » de l’existence alléguée d’armes chimiques et bactériologiques en Irak. Il avait également affirmé que le régime de Saddam Hussein avançait à grands pas dans la fabrication d’armes nucléaires. Et, cerise sur le gâteau, qu’il entretenait des liens étroits avec l’organisation Al Qaïda.
Épisode resté célèbre entre tous dans les annales mondiales de la désinformation, Colin Powell avait eu le culot d’appuyer ses dires par l’exhibition d’un petit tube en plastique, sorti de sa poche de veston, censé contenir de l’anthrax (bacille du charbon) produit par le régime irakien. Le chef de la diplomatie américaine ignorait apparemment que, si tel avait bien été le cas, ce simple récipient aurait pu provoquer la mort de milliers de personnes dans un rayon de plusieurs kilomètres autour du bâtiment de l’Hudson River dans lequel il s’exprimait.
UN « CRIME CONTRE LA PAIX », AU SENS JURIDIQUE PRÉCIS DU TERME
Au cours des 10 ans et 7 mois écoulés depuis lors, l’histoire s’est déroulée avec son cortège d’horreurs, de souffrances et de révélations. Et la logique de ce qui s’est RÉELLEMENT passé apparaît désormais dans toute son ignominie.
Déjà, trois mois après l’agression militaire, le gouvernement américain, pressé de questions, avait dû reconnaître qu’il n’avait pas trouvé la moindre trace d’armes de destruction massive (ADM) dans le pays qu’il venait de détruire à coups de bombes, notamment à uranium appauvri.
Les langues commencèrent à se délier et l’on apprit ainsi que, juste avant ce fameux discours du 5 février 2003 devant le Conseil de sécurité, M. Powell avait tenu à lire le brouillon préparé par M. Lewis Libby, directeur du cabinet du vice-président Richard Cheney. Ce document contenait des informations tellement douteuses que M. Powell aurait piqué une colère, jeté les feuilles en l’air et déclaré : « Je ne vais pas lire cela. C’est de la merde…. » Finalement, le secrétaire d’État avait exigé que M. George Tenet, le directeur de la CIA, soit assis bien en vue derrière lui, le 5 février, pour partager la responsabilité de ce qui fut dit.
Dans un entretien au magazine Vanity Fair, publié le 30 mai 2003, M. Wolfowitz, le numéro deux du ministère de la défense, reconnut qu’il y avait bien eu un mensonge d’État. Il avoua que la décision de mettre en avant la menace des ADM pour justifier une guerre préventive contre l’Irak avait été adoptée « pour des raisons bureaucratiques ». « Nous nous sommes entendus sur un point, avait-il précisé, les armes de destruction massive, parce que c’était le seul argument sur lequel tout le monde pouvait tomber d’accord. »
Le monde entier – du moins la partie du monde qui a accès à la bonne information – eut alors sous le nez la preuve que le président américain George W. Bush et ses collaborateurs immédiats avaient commis l’un des plus grands mensonges d’État qui se puisse imaginer. Avec un cynisme et une cruauté dignes du IIIe Reich, ils avaient menti continûment et effrontément, en inventant de toutes pièces un casus belli afin de contourner l’ONU et de rallier quelques complices (Royaume-Uni, Espagne, Portugal…) à leur projet de destruction de l’État irakien et de razzia sur ses richesses.
Ce plan avait été mûrement concerté puisque le Premier ministre britannique “de gauche” Anthony Blair avait devancé le président George W. Bush dans la voie du mensonge, en affirmant devant la Chambre des communes, à Londres, le 24 septembre 2002, que « l’Irak possède des armes chimiques et biologiques. (…) Ses missiles peuvent être déployés en 45 minutes. »
[source pour ces différents éléments : Article d’Ignacio Ramonet dans Le Monde Diplomatique de juillet 2003 http://www.monde-diplomatique.fr/2003/07/RAMONET/10193 ]
Alors qu’un scénario comparable a été réédité avec la Libye en 2011, et qu’il est de nouveau resservi aux opinions occidentales pour la Syrie en 2013, en attendant que l’on nous le représente en 2014 ou 2015 pour l’Iran, il convient de mettre les points sur les “i”.
En termes de droit international, les agissements des dirigeants américains et britanniques en 2003 portent un nom bien précis : ce sont des « crimes contre la paix » – appelé aussi “crimes d’agression” -, tels que la définition en a été posée lors du procès des grands criminels de guerre nazis à Nuremberg en 1945.
Selon les Accords de Londres du 8 août 1945, le crime contre la paix se définit en effet par « la direction, la préparation, le déclenchement ou la poursuite d’une guerre d’agression, ou d’une guerre en violation des traités, assurances ou accords internationaux, ou la participation à un plan concerté ou à un complot pour l’accomplissement de l’un quelconque des actes qui précèdent ».
[Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Crime_contre_la_paix ]
Appelons un chat un chat : la campagne lancinante menée en 2002 et 2003 par Washington et Londres pour convaincre le monde que l’Irak devait être attaqué parce qu’il détenait des “Armes de Destruction Massive”, et cela sur la foi de fausses preuves présentées dans l’enceinte de l’ONU, est exactement « un plan concerté et un complot » destinés à assurer « la direction, la préparation, le déclenchement et la poursuite d’une guerre d’agression.» Donc des « crimes contre la paix » au sens du droit international public défini par le Tribunal de Nuremberg, et passible de la peine de mort aux yeux de ce tribunal.
La qualification de guerre d’agression est d’ailleurs d’autant plus justifiée que l’attaque conjointe des armées américaines et de celles de leurs vassaux européens fut déclenchée sans l’autorisation du Conseil de Sécurité des Nations Unies. Il s’agit donc, en termes juridique précis, d’une guerre illégale.
Le « crime contre la paix » est donc juridiquement avéré. Et j’attends que quiconque ose, textes juridiques en mains, me soutenir le contraire. Je suis prêt à tout débat dans toute émission de télévision ou de radio pour cela.
Le Tribunal de Nuremberg condamna à mort plusieurs hauts dignitaires nazis pour avoir délibérément provoqué des guerres, en fomentant pour cela des complots, des fausses preuves et des guerres d’agression.
Ce fut par exemple le cas de Hermann Göring, président du Reichstag, de Joachim von Ribbentrop, ministre des Affaires étrangères du Reich, et d’Arthur Seyss-Inquart, artisan de l’Anschluss en 1938, qui furent condamnés à mort, notamment, pour « plan concerté ou complot » et « crimes contre la paix ».
UNE AVALANCHE DE « CRIMES DE GUERRE », AU SENS JURIDIQUE PRÉCIS DU TERME
Ce n’est pas tout.
Les Accords de Londres du 8 août 1945 préliminaires au procès de Nuremberg, avaient également défini une autre incrimination : le crime de guerre.
Le crime de guerre se définit ainsi : « Assassinat, mauvais traitements ou déportation pour des travaux forcés, ou pour tout autre but, des populations civiles dans les territoires occupés, assassinat ou mauvais traitements des prisonniers de guerre ou des personnes en mer, exécution des otages, pillages de biens publics ou privés, destruction sans motif des villes et des villages, ou dévastation que ne justifient pas les exigences militaires. »
[source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Crime_de_guerre ]
Or que s’est-il passé en Irak, après l’invasion des troupes au sol ?
La guerre d’agression menée par les États-Unis d’Amérique et ses complices à la suite d’un crime contre la paix juridiquement constitué, a provoqué :
- a) l’assassinat de centaines de milliers de civils irakiens.
Selon les études très précises et sérieuses, publiées en 2010 et effectuées par différents instituts de recherche, universités, facultés de médecine et instituts de sondage, la guerre en Irak aurait provoqué – toutes causes confondues – entre 400.000 et 1.033.000 morts civils.
[source : http://armerdesarmer.wordpress.com/tag/irak-morts-civils/… ]
Pour mesurer l’ampleur du carnage, je rappelle que l’Irak compte environ 31 millions d’habitants et que le nombre de morts civils (la moyenne de la fourchette se situe aux alentours de 700 à 800.000 morts) est ainsi d’un ordre de grandeur comparable, en pourcentage, au nombre de soldats français morts pendant la 1ère guerre mondiale (1.315.000 soldats français morts pour 39 millions d’habitants).
Sans doute ne peut-on pas imputer cette hécatombe de civils irakiens à la seule action de l’armée américaine et de ses supplétifs. Mais, outre que les dirigeants euro-atlantistes sont bel et bien à l’origine de la situation de chaos qui a permis à la guerre civile de se développer, il est certain que des milliers – et sans doute des dizaines de milliers – de civils irakiens ont été massacrés par l’armée américaine elle-même.
Les témoignages abondent en ce sens, et pas seulement de la part des populations de l’Irak martyrisé, mais aussi de soldats américains. Je renvoie ici par exemple au livre “Kill, kill, kill” de l’ancien “marine” Jim Massey, qui décrit les tueries gratuites opérées par les soldats américains, sans doute sous l’effet de psychotropes.
Le témoignage qu’il livra à la télévision française le 8 octobre 2005 devant Thierry Ardisson doit à cet égard être écouté et médité : https://www.youtube.com/watch?v=cK0SnWzywA4
Voir la suite de l’article (qui montre des images par trop violentes, non visibles par tous) sur www.upr.fr où vous pourrez lire l’article dans sa totalité, et bien d’autres articles de
F. ASSELINEAU
La manipulation du Monde sur les armes chimiques en Syrie
La manipulation du Monde sur les armes chimiques en Syrie

- Publié le : samedi 1er juin
- Mots-clés : Désinformation; international
En ce qui concerne la Syrie, comme lors des interventions menées contre la Serbie en 1999 et contre la Libye en 2011, la presse et les médias occidentaux se sont complètement alignés sur les positions bellicistes de leurs gouvernements respectifs et « l’information » qu’ils nous délivrent est une propagande de guerre [1].
« Les rapports sur l’utilisation d’armes chimiques par le régime Assad font partie d’un récit à répétition rempli de manipulations. (…) Et les titres [des médias] sont tous les mêmes : la Syrie utilise des armes chimiques. Voilà comment fonctionne le théâtre » [2] écrivait le journaliste Robert Fisk il y a un mois.
On vient d’en avoir une nouvelle illustration avec les « révélations » de deux reporters, Laurent Van der Stockt et Jean-Philippe Rémy – parues le 27 mai dans le quotidien Le Monde – sur « l’utilisation de gaz chimiques par le régime syrien ». Une accusation qui incrimine Damas et qui coïncide avec la réunion des ministres des Affaires étrangères de l’Union européenne où la France et la Grande-Bretagne escomptaient obtenir ce qui leur avait été refusé par trois fois : la levée de l’embargo sur la livraison d’armes aux « rebelles ». Tout ceci sans se soucier aucunement des souffrances engendrées pour les populations civiles.
Qui pourrait croire que la succession de ces deux épisodes est fortuite et croire encore à la neutralité du Monde et de ses reporters ? Pourquoi leur enquête unilatérale datant de mi-avril n’a-t-elle pas été publiée plus tôt ?
Le Monde a publié ce brûlot le jour où à Bruxelles et à l’ONU la Syrie allait être mise sur le gril. Cela devant concourir à mettre sous pression les acteurs politico-médiatiques, peser sur les gouvernements qui rechignaient à une levée de l’embargo sur les armes voulue par la France et la Grande-Bretagne. Pari réussi ? Les rebelles ont obtenu ce jour-là d’être approvisionnés en armes et la prolongation des sanctions qui font tant souffrir la population syrienne ; des souffrances qui sont le dernier des soucis de la diplomatie française et de la presse aux ordres. Il y a de fortes probabilités que la fable de l’usage du gaz sarin attribué avec insistance à Bachar el-Assad soit le fait des « opposants » terroristes djihadistes que la France et la Grande-Bretagne sont pressées d’approvisionner en armes [3].
En clair. Cette enquête s’avère n’être qu’un montage, qu’une manipulation ; une nouvelle escroquerie médiatique. Son objectif : venir en aide aux groupes terroristes à un moment où le vent médiatique et politique est en train de tourner et où la diplomatie belliciste de Laurent Fabius est en pleine déroute.
♥♥ Les gouvernements agissent en fonction de leurs
intérêts, et se moquent éperdument de la morale :
QU’ON SE LE DISE !!!!!! ♥♥
mort pour avoir réagi contre des voyous, qui braquaient un bureau de tabac
J
Jacques Blondel 61 ans
Marignane : Manuel Valls appelle au «réveil des consciences»
Un retraité a été tué jeudi en tentant d’intercepter des braqueurs dans cette ville des Bouches-du-Rhône. «Personne ne doit oublier son geste», a exhorté le ministre de l’Intérieur, qui promet des sanctions.
«Personne ne doit oublier le geste de bravoure de Jacques.» À l’image du ministère de l’Intérieur, Manuel Valls, l’émotion et les hommages affluent à Marignane après la mort d’un retraité qui a tenté de s’opposer au braquage d’un bureau de tabac jeudi soir.
Vers 18 heures, Jacques Blondel revient de la plage avec son épouse et sa petite fille, s’arrête acheter des cigarettes dans un tabac de Marignane. C’est à ce moment que deux malfaiteurs font irruption dans cet établissement de l’avenue Jean-Mermoz. Les braqueurs se font remettre le contenu de la caisse, ainsi que des cartouches de tabac. Le sexagénaire décide alors de les intercepter. Il monte ainsi dans sa voiture et poursuit le scooter des braqueurs. Quelques centaines de mètres plus loin, le conducteur de la voiture percute les deux braqueurs, puis tente de les neutraliser avec une bombe lacrymogène. L’un des malfaiteurs réplique et ouvre le feu, blessant mortellement la victime à la hanche. Son artère fémorale est sectionnée et, malgré les premiers soins prodigués par son épouse, infirmière, le retraité décède peu après son arrivée à l’hôpital nord de Marseille.
Après avoir tiré, les deux braqueurs prennent la fuite, abandonnant leur véhicule, une arme et leur butin. Quelques minutes plus tard, l’un des agresseurs présumés est interpellé par la police à Vitrolles. Connu des services de police, il est considéré comme l’auteur des coups de feu. Le jeune homme, qui fêtait ses 18 ans le jour même, a été placé en garde à vue tandis que son complice présumé, en cours l’article du journald’identification, est activement recherché.
Voici quelques commentaires anonymes à la suite de l’article du journal
Le ton de la colère est donné, et il montera de plus en plus si on n’agit pas ! !
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Il serait peut-être temps de rétablir la peine de mort pour les assassins qui tuent de sang-froid.
En effet, même condamnés à la perpétuité, ils sont relâchés un jour ou l’autre et en attendant leur emprisonnement coûte fort cher à la société.
Leur suppression ne ferait que rendre enfin justice aux victimes.
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«Il faut envoyer l’armée»
Éric Le Dissès, maire de Marignane.C’est exactement ce que nous pensons depuis des mois. L’incivilité, les braquages et les assassinats : STOP. Il faut que les Français fassent comprendre à ce gouvernement de bobos qu’il faut agir. Marre de se laisser insulter par une jeunesse que madame Taubira défend. Marre de ces juges de gauche qui ferment les yeux.
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Ni l’installation permanente de Manuel Valls ni celle du gouvernement dans la région marseillaise ne changerait rien.
Les français ne confondent pas verbe et incapacité avec autorité et efficacité.
malfrat
♥♥ Perdre la vie pour quelques cigarettes et un peu
d’argent, c’est insensé diront certains, mais Jacques
BLONDEL n’a écouté que son courage et sa rebellion
contre tous ces crimes et braquages perpétrés,
jour après jour dans ce monde de malfrats.
On aimerait voir ce courage se propager dans toute la
population,quand par exemple quelqu’un se fait
attaquer dans le métro, si tous les autres voyageurs
se regroupaient pour aider la victime cela ferait
sans doute réfléchir les agresseurs.
dans mon enfance les personnes étaient solidaires et
portaient secours aux victimes, on savait prendre ses
responsabilités dans pareils cas. Il est vrai qu’à
l’époque les armes ne circulaient pas comme de nos
jours.(Encore le bon modèle américain).
Est-ce à dire que la seconde guerre mondiale qui
avait appris aux Français à se défendre contre
l’occupant, avait permis à ces Français de tisser un
lien national très solide qui n’existe plus
maintenant ??? ♥♥
patience !!!!…..
♥♥
Ce petit enfant a déjà une conscience développée, il lutte de toutes ses
forces pour ne pas être agressif, il parle de sagesse, d’amour, de
pardon, de patience, un vocabulaire pour le moins trié sur le volet, mais
je me demande si cela persistera tout au long de sa vie, je sens que sa
colère monte, trop c’est trop , il sera probablement révolutionnaire à 20
ans, si les choses ne s’améliorent pas, d’ici là, dans la société. ♥♥
Un printemps s’est levé aux couleurs d’incendie
à chaque cri vivant des grenades répondent
Hommes de cinquante ans qu’avez-vous fait du monde
Regardez-le l’enfant qui se dresse et qui dit
Un jour Futur, puis des millions de jours
J’avancerai parmi des millions d’hommes
Brisant les murs de ce siècle trop lourd
croquant l’amour comme la rouge pomme
Regardez-le l’enfant qui se dresse et qui dit
Je ne connaissais pas la beauté des colères
Je veux faire tomber ce vieux monde en poussière
L’avenir, l’avenir, ne sera pas maudit
(Jean Ferrat – chanson » Un jour Futur »)
Un jour futur Jean Ferrat
françois HOLLANDE perd les pédales……..

♥♥
J e sais bien que le ridicule ne tue pas……….. mais quand même !! il me
fait penser à « BERTOLDO » un anti-héros italien connu pour faire tout à
l’envers, un peu comme notre « ROI DAGOBERT ».
Dorothée – Le Jardin Des Chansons – 76 – Le Bon Roi Dagobert
Pauvre Vals qui veux réveiller les consciences des voyous,des assassins et autres racailles.On ne peut réveiller quelque chose qui n’existe pas ! L’utopie malfaisante socialo-marxiste continue à sévir! Ces monstres qui tuent sans hésitation ne mérite qu’un châtiment la mort qui serait amplement justifiée.